Après pas mal d’heures devant le PC à trier et essayer de nommer les espèces photographiées, les photos du séjour en Australie (road trip de Cairns à Brisbane) sont en ligne. Au final, quelques fleurs, paysages et beaucoup de photos de la faune locale.
Oiseau commun en France, le Martin pêcheur d’Europe est le 1er oiseau à m’avoir donné l’envie de m’intéresser à la faune sauvage. En Australie, l’ami Martin peut être chasseur ou pêcheur. Celui, qui ressemble le plus à celui que l’on rencontre ici est le Martin pêcheur à dos bleu, endémique de l’Australie. Comme le nôtre, il fréquente les cours d’eau où il pêche pour se nourrir.
Avec 
le même gabarit, on trouve le Martin chasseur sacré qui va plutôt se nourrir de reptiles, petits rongeurs, petits oiseaux, larves, crustacés et assez rarement de poissons. Son aire de répartition se limite à l’Australie, la Nouvelle-Guinée, la Tasmanie et la Nouvelle-Calédonie.
Enfin, celui que l’on voit le plus souvent parce qu’il est bien plus gros et surtout moins craintif : le Martin chasseur géant. Là encore, cette espèce ne se trouve qu’en Australie. Sa taille lui permet d’avoir un régime alimentaire plus varié car tout ce qui vole, marche, rampe et nage et qui possède une taille adaptée à sa prédation est susceptible de finir sous son bec.
Dernier match de l’année au Phare mercredi dernier avant la trêve internationale et les fêtes de noël, et pour le coup, Chambéry peut avoir les boules. Tremblay n’a pas fait de cadeaux aux savoyards. Pire, à -6 en seconde période, ça sentait limite le sapin.
Malgré une belle réaction des chambériens dans un dernier quart d’heure sous haute tension et une égalisation à quelques secondes de la fin sur un 360° degré « gonflé » de Melvyn Richardson, les tremblaysiens d’Arnaud Bingo empochent le jackpot sur le buzzer grâce à un but de Rémi Salou du milieu de terrain.
En plus de la défaite, Chambéry compte 2 nouveaux blessés avec Rémi Feutrier et Marco Panic. Ce dernier, qui sortait tout juste de l’infirmerie, s’est blessé à la cheville et se fera opérer dès la semaine prochaine. Le déplacement dans le grand nord à Dunkerque mercredi prochain sera d’autant plus compliqué à négocier.
Après les kangourous et les koalas, un autre animal typiquement australien : l’ornithorynque. Bien moins attirant qu’un koala et surtout plus méconnu, l’ornithorynque n’en est pas moins intéressant et le voir demande là encore un peu de patience et de chance.
Difficile de se rendre 
compte de son originalité sur mes photos, mais il faut imaginer un mammifère à la mâchoire cornée ressemblant à un bec de canard, ayant une queue évoquant celle du castor et des pattes de loutre. C’est aussi l’un des rares mammifères venimeux puisque le mâle porte sur les pattes postérieures un aiguillon qui peut libérer du venin capable d’infliger de vives douleurs à un être humain.
Bien que plus difficile à rencontrer que le kangourou, en Australie, on peut avoir la chance d’observer encore en pleine nature des koalas. Sûrement la plus belle observation de ce séjour dans le Queensland, surtout quand on sait que les koalas sont endémiques de l’Australie et qu’ils passent jusqu’à 20h par jour à dormir. Pour les voir évoluer dans leur milieu il suffit « juste » de les repérer, ce qui n’est pas simple, et d’attendre le coucher du soleil car c’est le moment de la journée où ils changent d’arbre pour aller manger.
Aller en Australie et revenir sans photo de kangourou aurait été décevant. Il est finalement assez facile d’en voir, surtout quand on rentre un peu dans l’intérieur des terres, le bush. On les trouve dans les zones herbeuses, en forêt , dans les campings ou sur les terrains de golf :-/ !
Décidément Chambéry aime « taper » les leaders du championnat. C’est le cas en LNH pour mon plus grand plaisir, mais hier soir c’est le centre de formation qui a imité les pros en infligeant une petite correction à mon club de cœur : Saran. Même si rien n’était joué en 1ère mi-temps, la seconde a vu les savoyards écraser (désolé les gars) les désormais ex-leaders de la poule 3 de nationale 1. 
Quelques photos
La roussette à tête grise ou renard volant à tête grise est une chauve-souris de grande taille (envergure allant de 1,4 à 1,8m) que l’on trouve dans les régions côtières de l’est de l’Australie. On la trouve à proximité des zones humides mais elle n’hésite pas à s’installer en ville comme en plein centre de Cairns par exemple. Bien que cette chauve-souris puisse susciter la peur, comme bien d’autres animaux dangereux en Australie, elle ne se nourrit que de pollen, de nectar et de fruits :-).
Le tri des photos se poursuit lentement et je suis encore très loin de la fin. Aujourd’hui, je vous propose quelques papillons rencontrés lors de ce voyage. Certaines photos n’ont pas été prises en milieu naturel car les papillons sont parfois assez haut dans la végétation. Ceux-ci sont donc issus d’un sanctuaire et portent la mention (captivité). Pour les autres et globalement tout ce qui suivra dans les prochains articles, c’est du 100% « wildlife » (crocodiles, koalas, kangourous, oiseaux en tous genres, ornithorynques…).
Après avoir rencontré cette épave sur la plage de Dicky Beach, il était logique de voir ce qui se passait au Phare. Oui je sais, cette introduction est un peu tirée par les cheveux :-).
Le Phare a pourtant vu le vaisseau dunkerquois (2ème du classement avant le match) venir s’échouer à une encablure de chambériens rués à l’abordage des nordistes dès les premières minutes de la rencontre. Fait marquant de ce match, l’apparition à tribord de l’équipage, d’un jeune moussaillon : Melvyn Richardson, lancé dans le grand bain par le commandant de la flotte, Jackson Richardson.
