Pour mon plus grand plaisir, certains vieux bouquetins du Bargy ont survécu au récent épisode d’abattage (cf article du 1er octobre). Espérons qu’ils continueront à éviter les balles encore longtemps !
Celui rencontré hier met toutes les chances de son côté en jouant à cache-cache derrière les rochers :-).
Encore une journée passée hier à guetter les apparitions du gypaète barbu. Cela peut paraître étrange mais je pourrais passer des journées entières à attendre ce vautour, de près de 3m d’envergure, qui figure parmi les plus grands rapaces d’Europe.
Pour en savoir plus, sur cette espèce, je vous invite à visiter le site qui lui est dédié et qui parle également du programme de réintroduction qui lui est consacré. Vous comprendrez certainement pourquoi l’observer est une chance compte tenu de sa rareté et de son statut d’espèce protégée.
Tournette depuis le Bargy
Ou simplement un avant goût ?
Pour un 12 octobre, voir passer le chasse-neige au col de la colombière et avoir 30 à 50cm de neige fraîche par endroit, faut avouer que la rando d’aujourd’hui avait une touche hivernale. J’ai failli sortir les raquettes 
Grosse semaine de Hand la semaine dernière avec 3 matchs au phare pour Chambéry (2 journées de championnat et le 1/8ème de finale de la Coupe de la Ligue).
Un bilan de 3 victoires qui permettent à Chambéry de remonter au classement de la LNH pour pointer à la 6ème place (à 2 points du leader) et de se qualifier pour le 1/4 de finale de la Coupe de la Ligue (contre St Raphaël).
Enfin, ces rencontres ont permis de revoir les 3 frères Gille sur le terrain. Avoir 3 frères dans une même équipe doit être assez rare et c’est inédit en LNH. Il y a bien les frères Simonet mais 2 jouent à Ivry et 1 à Montpellier.
J’annonçais hier la publication d’un article sur le bouquetin pour lequel j’avais cherché à faire ce weekend des photos de vieux mâles. Cet article le voici et il n’a pas été simple à rédiger tant le contexte est difficile à comprendre. J’essaierai donc de ne pas m’avancer sur des terrains que je ne maîtrise pas, que ce soit de nature scientifique, politique ou économique. J’essaierai également de faire abstraction de mon attrait pour cette espèce, symbole des montagnes, qui me rappelle certaines randonnées de mon enfance.
J’étais parti ce dimanche pour faire quelques photos de vieux mâles bouquetins (pour un article à venir) mais ils se sont montrés inaccessibles et hors de portée de mon objectif. Chaque sortie apportant son lot de surprises, j’ai eu la chance d’observer un oiseau que je n’avais qu’entendu furtivement jusque là : le lagopède alpin ou perdrix des neiges.
… c’est la fin de l’été 
Retour au Phare hier soir pour le 1er match de la saison à domicile pour Chambéry. Avant ce match, aucune victoire au compteur et un début de championnat mitigé avec un match nul à Cesson et une courte défaite très prometteuse à Paris.
La venue de Dijon était donc l’occasion de remporter la 1ère victoire de la saison. Un match bien maîtrisé par les savoyards et une victoire 36-30. La saison risque d’être longue pour le promu bourguignon.
S’il fallait un exemple pour illustrer le fait qu’il ne faut pas forcément marcher longtemps pour découvrir de jolies choses, ces cyclamens pourrait être celui-ci.
Quand j’étais gamin je ne faisais attention à ces fleurs que lors des randonnées estivales en Haute-Savoie. Maintenant que je suis plus attentif à ce qui m’entoure, j’ai découvert qu’on en trouvait à 100m de la maison où j’ai grandit, dans le Loiret !
Ce n’est peut-être pas la variété qui pousse en Haute-Savoie, puisqu’il en existe pas moins de 24 espèces différentes, mais ceci montre bien qu’il suffit de sortir et de prendre le temps d’observer la nature pour faire de belles rencontres.
Avec une envergure atteignant couramment les 90 mm, le Machaon compte parmi les plus grands et les plus beaux de nos papillons diurnes. C’est le plus largement répandu de nos « porte-queues », dénomination faisant référence aux fins prolongements des ailes postérieures. C’est aussi le plus commun, encore qu’il faille relativiser, car il tend à se raréfier.
En principe le Machaon vole d’avril à septembre, avec une première génération issue de chrysalides hivernantes. 
La seconde génération émane bien sûr de la première, et les émergences se produisent le plus souvent en Juillet.
Ce papillon est un excellent voilier, avec un vol planant particulièrement efficace et spectaculaire. C’est aussi un solitaire, plutôt adepte de la bougeotte et des grands espaces.
